Perdu dans
mes pensées, j’imagine
Un endroit
sans peurs et sans danger
Là où les
rêves ne sont plus des chimères
Un monde où
le réel se perd dans l’imaginaire.
Les yeux
ouverts, je vois et devine,
Que le monde
en plein déclin forcé
Dans lequel
je vis une existence passive
Est et sera
toujours à la dérive
Personne ne prête
plus attention
A la
musicalité de la nature, échantillons
Ephémères et
tellement oubliés
Nos yeux
trainent des larmes séchées
Oppressant
population qui n’est que faction
Tous divisés
entre argent et vaines illusions,
N’y a-t-il
point d’homme qui soupir
Autant que je
suis en train de dépérir
Levant les
yeux au ciel d’un bleu
Resplendissant,
je ne vous qu’une beauté
Infinie,
preuve d’une immensité,
Celle que nous
n’arrivons à capter que peu,
Tellement nos
esprits sont clos
Au contact
des autres et des différences.
Je me sens le
seul à être différent
Parmi ceux
que l’on appelle mes semblables.
Une main
tendue nous permet de sortir de l’eau.
Cette tête
que l’on avait, lors d’une dernière danse
Enfouie loin
de là, très profondément
Pour ne plus
voir ce monde tellement instable.
Archibald.W
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