Assis dans ce
train,
Regardant
dans la nuit
Il me revient
sans fin
Le désir et
l’envie.
Il faut dire
que deux jours
Ne sont que
peu de choses
Pour ce week-end trop court
Mais la réalité
s’impose.
Une larme
perle au creux
De mon œil,
je ne suis pas
De marbre
apparemment,
Moi qui
pensais pouvoir
Y échapper,
je suis malheureux
De te
quitter. En tout cas
Pour ce qui
est du moment
Présent, à
force de te vouloir,
Je me noie
dans une profonde
Mélancolie
sans fin. Ce retour
Sonne pour moi
le glas
Du rêve que
je vivais là.
Mais je
regarde une seconde,
Les gens
dehors, autour,
Ils sont sourds
à mes cris,
Il faut dire je
fais peu de bruit.
Mais tu es
toujours là, proche,
Je n’ai en
rien loupé le coche,
Et je garde
grand espoir,
De pouvoir bientôt
te revoir.
Archibald.W