10/02/2013

Rêveries


Si un jour on m'avait dis que j'aurais aussi
Peur de perdre quelqu'un, je n'y aurais
Tout simplement jamais cru, je ne suis
Qu'un homme, comment aurais-je pu y échapper?

Je me suis souvent dis qu'il fallait que je profite
De ces instants magnifiques, en laissant de coté
Les instants moroses comme les lendemains de cuites,
Où les petits soldats viennent dans ma tête pour la décimer.

Néanmoins même si ils me hantent,
J'essaye de laisser le passé derrière moi,
De sortir mon coeur de la tourmente,
Et de profiter de ces instants avec toi.

Toi ma muse, celle qui me donne à réfléchir
Sur qui je suis, celle pour qui je ferais tout,
Quitte à passer toute ma vie en plein délire,
Pour éviter que tu ne sombre dans ce trou,

Ce trou tellement grand qui est celui de ta mélancolie,
Duquel j'espère bien te sortir, en donnant toute ma
Force dans ce combat que tu juge sans fin, mais qui,
Malgrès tes songes, est une épreuve d'où l'on se sortira.

Je t'ai promis que jamais je n'aurais de cesse,
De chercher à te rendre heureuse, et jamais
Je ne faillirais même dans ma plus grande détresse,
Car tu es plus importante que tu peux ne peux l'imaginer.

Ce combat que je mène contre tes démons,
Trouvera sa fin lorsque tu en seras totalement libérée
Car quoi qu'il en soit, quoi qu'en dises les cons,
Je voulais te dire que toujours je t'aimerais.


Archibald.W



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