La lumière du
jour transperce mes paupières,
Un coq au
loin se tue les poumons à chanter
A tue tête,
les abeilles partent ensemble butiner,
Le matin
pointe au loin, ma tête en est encore à hier.
La nature
prends ses droits, elle la toute puissante,
La brume qui
règne là haut se disperse rapidement,
Laissant
poindre le soleil et cette beauté resplendissante,
Celle de la
vie qui s'éveille après de cours rebondissements
Ce spectacle
joyeux qui s'offre à mes yeux ébahis
N'est que le
commencement d'une simple journée;
Mais quel
début en fanfare orchestré ce cette manière-ci,
Le temps ne
semble plus avoir d'emprise sur cette destinée.
Peuple de
tous bords et de tous horizons, regardez,
Cette guerre
que vous menez n'est rien comparée
A l'épanouissement
grandissant de Mère Nature,
Elle est bien
plus résistante que toutes vos armures,
Bien plus
belle que vos plus imposantes armes de destruction.
Posez vous
quelques instants, admirez cette harmonie magnifique
Qui se
retrouve dans ce paysage, écoutez sans préavis
Le chant des
oiseaux tout là haut, n'est t'il pas angélique?
Cette fleur qui
pousse là bas, n'est que le signe d'une passion,
C'est ainsi
que se définit le quotidien, la vie et la mort réunie
En un instant
de grâce ou l'on se rend compte de ce que signifie
Le temps,
entité millénaire aux milles éclats, cachant tout les cris.
Perdu au
milieu de cette nature, je me sens revivre, entier
Je le sais,
mon chemin n'est pas encore tout tracé,
Les yeux
tourné vers le ciel, je me dis que j'y arriverais,
Oui, tout est
possible quand on est vraiment motivé
Archibald.W
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